On retrouve à travers les personnages ou les décors de ces 16 nouvelles tout le charme du fantastique social sous le signe duquel l'auteur a placé son univers.
Ce recueil renferme, et le lecteur le constatera, une galerie de portraits tous plus loufoques les uns que les autres et néanmoins représentatifs de l'imaginaire de Mac Orlan.
Ces contes et portraits ont été rédigés entre 1909 et 1917 pour des journaux comme le Rire, le Journal ou le Sourire. Ils préfigurent les grands textes ultérieurs de l'auteur, caractérisés par le concept de fantastique social.